Par Pietro Tosi, CIEP-MOC Bruxelles « Le fascisme se présentait comme l’anti-parti, il ouvrait ses portes à tous les candidats, il laissait la place à une multitude pour recouvrir d’un vernis d’idéaux politiques vagues et nébuleux le débordement sauvage de passions, de la haine et de désirs. Le fascisme est donc